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Dans toutes les disciplines, dans toutes les formes de l'art et de la science il existe des célébrités, mais ce sont toutes des célébrités de la race humaine. On ne cherche en général pas de célébrités parmi les animaux...sauf dans la race chevaline.

De nos jours, les chevaux célèbres sont ceux qui remportent le plus de victoires, qui sautent le plus haut, qui galopent le plus vite.

Jadis, c'est-à-dire au Moyen Age, et même avant cela, les chevaux étaient célèbres lorsque leurs cavaliers l'étaient, ou vice-versa. Citons-en quelques, parmi les plus grands et plus fidèles amis de l'homme.

 

 

BUCEPHALE. Aux Indes, les vaches sont toutes sacrées, à ce point que les Hindous préfèrent mourir de fain plutôt que de tuer un ruminant qui leur permettrait et aussi leurs enfants de vivre. Mais les Indes ont également eu des chevaux célèbres ; Bucéphale en est un. C'était le cheval que Philippe de Macédoine acheta un jour pour son fils Alexandre. Grand guerrier, Alexandre avait un amour immodéré pour les chevaux. Celui que son père lui offrit avait un caractère ombrageux à tel point que personne n'osait le monter, sauf lui, qui avait compris que ce cheval avait peur de son ombre est devait être conduit face au soleil. Combien de combats Bucéphale ne livra-t-il pas avec son maître, lui sauvant la vie à maintes reprises ! Il mourut en 327 avant Jésus-Christ en bon guerrier, près de la ville qu'en son souvenir on appela Bucéphalia. Un oracle s'attachait à Bucéphale, cheval le plus célèbre de l'Antiquité : il prédisait que celui qui le dompterait pourrait aussi dompter le monde.

INCITATUS. Certes, Caligula, empereur des Romains, assassiné en 41 à l'âge de 29 ans, est considéré par beaucoup comme un dément. Son règne ne peut être considéré comme bénéfique pour Rome. Il aimait à ce point les chevaux, et il niait à ce point la politique de ses prédécesseurs, qu'il éleva au rang de consul son cheval Incitatus ! Celui-ci disposait d'un magnifique palais de marbre, mangeait dans une auge d'ivoir et buvait dans une coupe en or massif placée sur une table de bois précieux. Certains dîners, offerts par l'empereur, étaient présidés par son cheval, celui-ci ayant à sa droite l'invité d'honneur. Enfin Incititus disposait d'une garde personnelle !

Citer quelques célébrités du monde chevalin sans parler des pur-sang arabe qui furent les points de départ de la race des chevaux de course serait impardonnable.

Nous avons déjà cité Richard Coeur de Lion, connaisseur de chevaux, qui, le premier importa des étalons arabes pour les croiser avec des juments anglaises. Ses successeurs l'imitèrent, améliorant ainsi la qualité des produits.

LISTER TURK. C'est un étalon arabe importé en 1686 par le duc de Berwick. Parmi ses descendants, il faut retenir quelques noms célèbres, parce qu'ils sont les réels ancêtres des pur-sang anglais. Byerly Turk (1689) appartenait au capitaine Byerly. Ce magnifique étalon plaisait au roi d'Angleterre, Guillaume III, qui décida de l'acheter. Les pouces sur la couture du pantalon, l'officier discipliné s'exécuta. Qu'auriez-vous fait à sa place ? Le Roi inscrivit Byerly Turk comme n°1 dans le Stud-Book qu'il créa et qui s'appelait alors ; Le livre des haras royaux.

DARLEY ARABIAN fut acheté sous la reine Anne, à Alep, en Syrie, pour le compte de Monsieur Darley. De pure souche kocklani et dès lors descendant direct des haras royaux du roi Salomon, Darley Arabian figurerait lui aussi en bonne place dans le Stud-Book.

GODOLPHIN ARABIAN. Troisième illustre ascendant du pur-sang anglais, son histoire est quelque peu différente. Lorsqu'actuellement un souverain étranger rend visite au président de la République, ou vice-versa, le voyage se termine par l'échange de cadeaux : une magnifique pièce de Sèvres, une toile signée d'un grand nom, une dentelle...Jadis, les chevaux constituaient des cadeaux appréciés. Et c'est ainsi que le bey de Tunis avait offert à Louis XV, huit magnifiques étalons arabes. Mais Louis XV, c'était son droit, n'aimait pas les chevaux. Il ordonna leur vente, sans doute sans rien en dire au bey. Un charretier parisien en devint propriétaire, et c'est dans une rue de Paris qu'un sieur anglais vit un de ces arabes et l'acquit sur le champ. Rentré à Londres, il le vendit au comte Godolphin, trésorier de la chambre des Lords. La carrière de Godolphin Arabian débuta assez tristement, il était chargé, comme boute-en-train, d'attiser les appétits des belles juments destinées au seigneur du haras, un certain Hogoblin. Qu'un sentiment de jalousie de plus en plus fort à l'égard de ce Hogoblin prétentieux animal pauvre Godolphin n'étonnera personne, un jour, voyant l'affriolante jument Roxanna, il se rua sur son concurrent, le tua net et conquit sa dulcinée. De cette union naquit un des plus célèbres chevaux de course de l'époque, tandis que, en remerciement pour la qualité de sa progéniture, Godolphin était inscrit au Stud-Book.

 

Les chevaux de Napoléon,

 

L'empereur des Français livra tant de batailles et parcourut un si grand nombre de kilomètres qu'on ne peut se limiter à citer un seul de ses chevaux utilisés pour les déplacements de l'Empereur et de sa suite. Pendant la campagne de Russie, l'équipage de Napoléon comprenait un service d'expédition qui nécessitait 160 chevaux, tandis que 240 autres étaient affectés au transport des gros bagages. Quant à l'équipage de selle, il se composait de 13 brigades de 10 chevaux. On arrivait ainsi à un total, pour une seule suite, de 630 chevaux et mulets ! rien d'étonnant qu'un seul nom de cheval ne puisse être attaché à celui du vainqueur d'Austerlitz.

LE TIMIDE, LE RUSSE, L'ESTIME,TAMERLAND, CALVADOS, VIZIR, et bien d'autres furent immortalisés par Horace Vernet, Sanewied peignit notamment, LE CID, CORDOUE, GESSNER, CYRUS...

S'il fallait, parmi les dizaines de noms, en épingler quelques-uns, nous nommerions MARENGO, le cheval que Napoléon monta notamment à Waterloo.

MARENGO. né en Egypte, portait une robe gris clair, Napoléon le monta en 1799 à Aboukir et également à Marengo, en 1800. C'est le courage, la témérité et le sang-froid dont il fit preuve au cours de cette bataille qui opposait les armées de son maître aux Autrichiens qui lui valurent d'ailleurs d'être appelé Marengo. Il vit le magnifique soleil d'Austerlitz, fut présent à Iéna et à Wagram et parcourut la Russie. A Waterloo, en 1815, Marengo fut blessé à la hanche. Après la défaite, l'armée anglaise prit soin du cheval qui, en Angleterre, fut acheté par le lieutenant-général J.J.W. Angersteine. Un sabot de Marengo est conservé au mess des officiers de la garde au palais de Saint-James, à Londres. Son squelette se trouve au Royal United Service Muséum.

JAFFA est le nom d'un autre cheval de l'Empereur qui finit ses jours en Angleterre où il vécut jusqu'à l'âge de 38 ans. Sa tombe a été érigée dans la propriété du baron de Nettelbladt. Si Napoléon marquait une préférence bien nette pour les arabes de robe blanche ou grise, il monta néanmoins des bais et des alezans, comme ROITELET et NERON.

 

Encore des noms célèbres.

 

COMMANCHE. Il s'agit du cheval avec lequel le capitaine Myles Keogh entreprit en 1876 une expédition contre les Sioux de l'Amérique du Nord. Au cours d'une bataille contre les Peaux-Rouges, bien supérieurs en nombre, les officiers et soldats américains furent tous massacrés et leur chevaux tués. Mais si le capitaine Keogh fut parmi les morts, son cheval respirait encore lorsque les secours arrivèrent. Cette sanglante bataille s'appelait Big-Horn.

PRINCE HAL. C'est au printemps 1950 que la brillante cavalière britannique Pat Smythe remarqua, lors d'une course à Cheltenham, un bel alezan. Après un saut magnifique au-dessus de la dernière haie, il termina troisième. Résultat paraissant peu, enviable, si on ignore que la plupart des favoris étaient tombés bien avant d'atteindre la ligne d'arrivée. Le lendemain de cette course Pat Smythe tomba amoureuse de Fourtowns (c'était le nom du cheval) et l'acheta cinquante livres. Le nom de Fourtowns ne lui plaisant pas, elle donna à son cheval le diminutif de l'ancien prince de Galles : PRINCE HAL. Pat Smythe eut tout d'abord beaucoup d'ennuis avec Prince Hal qui ne tournait que d'un côté, refusant obstinément de plier la colonne vertébrale dans l'autre sens. Mais après ces approches, que de victoires ; Paris ,Rome, Madrid, Bruxelles, Londres, Aix-la-chapelle, partout Prince Hal était la vedette.

POMONE B. Avec cette jument baie, Jonquère d'Oriola remporta en octobre 1966 le titre de champion du monde des Cavaliers. Pomone B est née en 1959 dans la propriété de Monsieur Nail à Arçonnay, en Sarthe. Il y a quarante ans Monsieur Nail était métayer du vicomte Xavier du Nanteuil. Celui-ci, en 1945, avait acheté Hirondelle du Bois Margot, pouliche provenant de l'élevage de Madame Morand qui habitait une propriété appelée " Le bois Margot ". Il confia le cheval à Monsieur Nail. Celui-ci, en échange, deviendrait propriétaire des produits à naître. Hirondelle du Bois Margot est la trisaïeule de POMONE B. Elle donna entre autres ROSINE, qui en 1947 mit bas d'une pouliche baie, DRAGONNE. Quatre années plus tard, en 1951, Dragonne donna naissance à HARMONIE, mère du champion. Pomone B est le fruit de la rencontre d'Harmonie et de Furisio, étalon bai brun né en 1939 et qui possède une progéniture aussi remarquable que nombreuse. POMONE B, jeune, n'était pas un cheval facile. Son débourrage donna du fil à retordre à ceux qui la montèrent. Elle surprenait par ses départs foudroyants. A l'âge de 5 ans, elle fut achetée par Monsieur Le Maître, directeur d'une école d'équitation à Nantes. Si à ses débuts, elle ne se distingua pas en concours, à 6 ans, elle entama son palmarès, gardant son caractère lunatique, tantôt joyeuse, tantôt maussade. En mai 1966, elle fut achetée par le colonel-vétérinaire Boyer, directeur national des sports Equestres, qui la confia à Pierre Jonquères d'Oriola en récompense de sa médaille d'or de Tokyo.

GLADIATEUR, qui rapporta à son propriétaire deux cent cinquante trois millions d'anciens francs, mourut à l'âge de 14 ans, sans laisser aucun descendant...

SUNSALVE, né en 1950 dans la propriété de M.O.Anderson, il mourut inopinément en 1962. Sa perte est encore ressentie.

POSILIPPO, né en 1951, le grand cheval alezan du magnifique cavalier italien Raimondo d'Inzeo fut élevé par Novile Morese dans son élevage près de Salerne en Italie.

LUTTEUR B, né en 1955 sur le domaine de La Foucaudière à Camembert, dans l'Orne, produit de Furioso et de Bellone. Son premier propriétaire, M. Martin, le vendit à un marchand de chevaux de Falaise, M. Lefèvre, à peine 3 ans lorsqu'il changea à nouveau de maître. Son troisième patron étais le marquis de Contades. Celui-ci confia le dressage du cheval à un sous-écuyer de Saumur, le lieutenant Durant. A 7 ans Jonquères d'Oriola acheta le cheval en 1964 à M. du Chaffant, il est mort accidentellement en 1968.

THE ROCK. Importé d'Irlande en Italie en 1953.

ROQUEPINE.

MONSIEUR DE LITTRY, le cheval olympique du commandant Guy Lefranc, est né en 1956 d'une union entre le fameux Furioso et Duchesse.

KENAVO D. Cet alezan, par Foudroyant II et F. de Master Orange, né en 1954.

KAIROUAN. né en 1954, fils de Furioso et d'une fille d'Ilex.

 

 

 

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